Je m’étonne de ces éloges pour un homme qui a été pro-allemand au point de fonder (avec l’argent des autres) un quotidien allemand « La Bretagne ». Il suffit d’aller le lire aujourd’hui en bibliothèque.
De plus « la Bretagne’ était de fait une officine de renseignement pour La Gestapo : les journalistes sillonnaient la campagne par le biais des match de foot pour recueillir leurs renseignements.
Yann Fouere est aller planquer l’argent de la collaboration en Irlande où il a prospéré dans le saumon.
Jusque dans sa mort il aura chanté ses louanges, ignorant des malheures et des morts qu’il a provoquées.